Indicateurs de résultats et de satisfaction de cette formation

La Fémis sonde régulièrement ses stagiaires sur la qualité de la formation suivie.
Taux de satisfaction
Taux de satisfaction de la promotion 2024 sur le programme et le déroulement de la formation par rapport aux objectifs annoncés :
taux de réponse au questionnaire : 100%
- 92% de satisfaction
La durée :
- 87 % de satisfaits à très satisfaits
Les horaires de travail :
- 94 % de satisfaits à très satisfaits
Le rythme de l’atelier :
- 75 % de satisfaits à très satisfaits
La composition des groupes :
- 91 % de satisfaits à très satisfaits
Les apports de la formation :
- 90 % de satisfaits à très satisfaits
Le nombre et le profil des intervenant.es :
- 82 % de satisfaits à très satisfaits
La clarté de leur retours :
- 86 % de satisfaits à très satisfaits
La pédagogie du.de la directeur.rice d’atelier :
- 96 % de satisfaits à très satisfaits
Les séances de pitch :
- 78% de satisfaits à très satisfaits
Taux de participation au bilan final : 100% des 21 stagiaires de l’Atelier scénario 2024.
Suite aux évaluations et au Jury de diplôme, 100% des stagiaires ont obtenu le titre à finalité professionnelle de Scénariste enregistré au RNCP.
Témoignages de participant.e.s
Le programme et le déroulement de la formation ont-ils correspondu aux objectifs annoncés ?
J’ai l’inespérée V1 en fin de formation donc on peut dire que les objectifs annoncés sont atteints. K. T.
Le programme m’a apporté beaucoup d’outils méthodologiques et une vision précise de ce qu’est le scénario. L. D.
Excellente formation, très dense mais extrêmement efficace MF. TA.
Quelle est votre appréciation de la durée ?
La durée de l’atelier est en adéquation avec les objectifs posés en début d’année. Une durée plus courte ne permettrait tout simplement pas d’aller si loin dans le développement du scénario. A. B.
La durée de la formation est suffisante pour appréhender et développer son projet de long métrage ; même si on en voudrait toujours plus. PG. R.
La durée de 14 mois s’est avérée idéale : l’immersion intensive a poussé nos limites créatives et physiques, reproduisant les conditions d’un projet professionnel abouti. Un calendrier plus court aurait compromis la qualité des apprentissages. SV. B.
Que pensez-vous de la composition du groupe (Expériences, formations antérieures, âges) ?
Je pense avoir été dans le meilleur groupe de tous les temps… que ce soit au niveau personnalité mais aussi en termes de diversité d’histoire. M. L.
La diversité des profils (acteurs, techniciens, dramaturges, documentariste, jeune réalisateur ...) a été une richesse inestimable. Les échanges ont nourri les projets d’une pluralité de regards. Cette hétérogénéité d’âges et de parcours a renforcé la dimension collaborative. SV. B.
J’aime et j’admire beaucoup les personnes de mon groupe (…). Je dois tout de même dire que, pour quelqu’un qui n’a pas fait d’études, ni dans le cinéma, ni dans rien, et qui n’a réalisé aucun film, comme c’est mon cas, la différence de compétences liées à l’écriture d’un scénario avec des personnes déjà très expérimentée peut être vraiment inhibante. Je suis très heureux d’avoir fait cette formation, j’ai beaucoup appris. J. M.
Quels sont vos premiers acquis, issus de l’Atelier Scénario que vous pourrez réinvestir dans un prochain projet ?
J’ai appris à mieux organiser le développement d’un projet et à ne pas combattre sur tous les fronts en même temps. En bref, à savoir détecter et hiérarchiser les problèmes à résoudre. Je me sens bien mieux armé et plus confiant face à l’écriture d’un format long. A. B.
La capacité à canaliser ses désirs et son imaginaire pour délivrer une histoire cohérente, sans pour autant se déposséder des choses qui nous animent. Construire des personnages fort qui racontent quelque chose. Délivrer des documents de travail conséquents dans des délais à respecter. PG. R.
La régularité dans le rapport à l’écriture, l’échange et l’analyse sur les projets d’autres scénaristes. T. C.
Cette formation m’a permis de mieux comprendre la structure d’un récit, d’apprendre à creuser mes personnages et à porter un regard à la fois critique et bienveillant sur un scénario. J’ai aussi découvert des outils de narration plus larges, qui me seront précieux quels que soient les formats. J. M
Que pensez-vous du nombre et du profil des intervenants ?
Les intervenants étaient de grande qualité et très enrichissants. J’ai beaucoup apprécié la diversité de leurs approches, même si j’aurais aimé en rencontrer un plus grand nombre. M. J.
Je trouve très intéressant d’avoir un panel large de l’industrie, de la distribution à l’agente... Globalement, il s’agissait des personnes reconnues dans la profession, je pense qu’il est essentiel de garder ce haut standard, voire de le pousser un peu plus. Excellent d’avoir invité des comédien.nes à ce moment, aussi. J. CW.
La pluralité des intervenants a été décisive pour appréhender les réalités polyphoniques du métier. Chaque profil apportait un angle complémentaire : des conseils techniques sur la structure narrative aux réflexions sur le rapport au plateau, en passant par les enjeux de production et de diffusion... SG. B.
Le système qui consiste à avoir de nouveaux intervenants tous les mois durant la seconde partie de l’année est très bien, car cela survient à un stade plus avancé du travail. A. B.
Que pensez-vous de la clarté de leurs retours ?
De façon générale, les retours ont toujours été bénéfiques. Il a pu arriver que certains d’entre eux semblent montrer très peu d’intérêt pour certains projets. Mais on ne peut pas attendre de tous les intervenants qu’ils soient capables d’entrer dans tous les univers. Donc mon avis global est très positif. A. B.
Les retours, toujours formulés lors de dialogues constructifs, évitaient toute opacité. La possibilité de demander des précisions en direct transformait les critiques en leviers d’action immédiats. Cette interactivité créait un apprentissage dynamique, où même les désaccords devenaient productifs. La rareté d’un suivi aussi personnalisé a rendu chaque session précieuse. SG. B.
Leurs retours ont été très éclairants et surtout très différents donc complémentaires. Ils ont mis en lumière à travers leur regard singulier les failles de nos projets, tout en les inscrivant dans l’horizon cinématographique. PG. R.
Que pensez-vous de l’Atelier Série ?
Un excellent intervenant, dont la pédagogie nous a permis d’apprendre énormément. Il s’est montré à la fois bienveillant et ouvert, abordant avec sincérité les aspects positifs comme les difficultés du métier. J. M.
Passionnant. Extrêmement généreux dans sa manière d’aborder la pédagogie. J’ai adoré. C’est toujours passionnant d’avoir des intervenants d’un tel talent et qu’ils soient assez généreux pour nous parler sincèrement de leur méthode. K. T.
Les documents que Benjamin a mis à notre disposition nous ont permis de percevoir en détails l’étendue de son travail. Il s’est montré particulièrement généreux et transparent sur son approche de l’écriture sérielle. Nous en sommes ressortis à la fois avec des outils, mais aussi avec un retour d’expérience concret des réalités de la production de série. Super atelier. A. B.
Que pensez-vous de la pédagogie du directeur d’atelier ?
J’ai trouvé Nadine très juste dans son équilibre entre direction et écoute, ceci tant à l’échelle de l’atelier que de chaque projet. Elle n’a pas cherché à imposer ses vues, elle est restée bienveillante tout en étant claire et ferme sur ce qu’elle pensait des travaux en cours. Elle a su guider intelligemment et subtilement. Je l’ai trouvée très construite dans ses points théoriques, tant sur la structure d’un récit que sur ses trucs d’écriture. J. CW.
Jacques Akchoti a une pédagogie très précise et très claire. Elle est axée sur le personnage et le récit. Son exigence est accompagnée d’une grande bienveillance. Il ne résout jamais les problèmes d’écriture à notre place, mais il nous aide constamment à les clarifier, à les percevoir pour aller plus loin dans nos intuitions. Il cherche constamment la véracité de notre histoire. Pour moi, c’est une rencontre déterminante dans mon parcours d’auteur. O. B.
Je pense qu’Eve est une excellente pédagogue qui s’implique avec beaucoup de générosité dans son accompagnement avec chaque stagiaire. Eve est une pédagogue sensible et à l’écoute qui essaie de solutionner les problèmes par un dialogue constructif et individuel au besoin. C’est aussi une directrice d’atelier exigeante, qui demande beaucoup aux stagiaires, on se dit souvent que c’est trop mais c’est pourtant avec une vision d’ensemble que ce travail est demandé. J. M.
Votre appréciation sur les séances de pitch de juillet : Taux de satisfaction 78%
Cette séance est arrivée au bon moment. Les retours, parfois durs des autres intervenants, nous ont permis d’aborder l’été avec de nouvelles pistes et nous ont « forcés » à prendre en main des chantiers, trop longtemps remis à plus tard. A. B.
C’était vraiment génial de découvrir les films des autres groupes et d’entendre les retours des autres directeurs/trices d’atelier. Je garde un souvenir chaleureux de ce moment. Un souvenir de rencontre. J. M.
La place dans l’année était bien. Ça permettait de ressentir les passages du scénario qui ne marchaient pas encore et surtout de connaître les projets des autres stagiaires, cela nous a bien soudé en tant que promo. D. S.
Y a-t-il d’autres enseignements que vous aimeriez trouver dans cet atelier en lien avec les objectifs et dans le temps imparti par la formation ?
Peut-être un point sur le travail de dossier pour aide, recherche prod etc. ? Je dis ça pour dire quelque chose car pour moi tout était parfait. K. T.