Événement doctorat sacre

Mélanie Pavy participe à « Nous ne sommes pas le nombre que nous croyons être »

Un événement inédit de la Fondation Daniel et Nina Carasso en partenariat avec la Chaire Arts & Sciences et la Cité internationale des arts. Du vendredi 2 février 10h au samedi 3 février 22h. 2 jours et 1 nuit : 36h en continu à la Cité internationale des arts – Paris.

Mélanie Pavy, participera dans le cadre de son doctorat SACRe, avec le label Call It Anything*, à un évènement intitulé : "« Nous ne sommes pas le nombre que nous croyons être » pour imaginer demain.
L’événement est ouvert au grand public à La Cité Internationale des Arts le vendredi 2 février de 10h à 22h le samedi 3 février 2018 - 36h en continu.

En savoir plus :
https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre/la-tete-au-carre-26-janvier-2018
http://chaire-arts-sciences.org/nous/
http://www.ensad.fr/actualites/nous-ne-sommes-pas-nombre-que-nous-croyons-etre

* Call It Anything : Depuis l¹année 2012, l’association F93 (http://www.f93.fr/) abrite un projet ayant pour origine la triple catastrophe dite de « Fukushima » : un séisme, un tsunami, un accident nucléaire majeur. Si l’objectif principal du projet consiste à imaginer et mettre en place une approche susceptible de rendre justice à la complexité de l’événement, pour les participant.es, il s’agit également d’apprendre à restituer voire à intensifier- le trouble à la fois cognitif et affectif provoqué par la catastrophe du 11 mars 2011. D’où l’idée, dès le départ, de s’y mettre à plusieurs. Les différentes personnes ayant contribué, ou contribuant actuellement à l’initiative, ne sont pas sollicitées sur la base de compétences partagé en matière de catastrophe ; par contre, elles ont en commun d’avoir accueilli favorablement l’idée que seule une recherche-action dont les termes sont à négocier collectivement, permettra de se dépêtrer de « l’imbroglio sensible » - terre, air et vie mêlés, comme dans la nouvelle d¹Ursula Le Guin - dans lequel se trouve pris quiconque se donne pour objet « Fukushima ». Au fil du temps, le groupe s’est entendu pour dire et faire sans poser d’a priori quant aux aspects à considérer comme dignes d’intérêt ; il a également éprouvé la nécessité d¹inventer et d¹activer de nombreux outils de perception, de description et d¹expression ; enfin, le groupe a manifesté le désir de se doter d’un temps long en affirmant que le projet n’avait plus de fin programmée.